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Patricia
Messages : 2
Date d'inscription : 21/09/2017

Sortie du 28 octobre  Empty Sortie du 28 octobre

Jeu 21 Sep - 19:52
Première sortie proposée par Maïté :
SORTIE PARIS - SAMEDI 28 OCTOBRE : MONTAGNE SAINT-GENEVIEVE et QUARTIER DE LA CONTRESCARPE
Rendez-vous à la Fontaine Saint-Michel à 9h00 (nous pourrons attendre jusqu'à 9h15 les retardataires), nous communiquerons avant le jour de la sortie un numéro de téléphone pour les retardataires afin qu'ils puissent nous rejoindre. Pour le café, chaque groupe décidera où il veut s'arrêter, le plus agréable étant de prendre un café place de la Contrescarpe, si on peut tenir jusque là...
• On traverse le boulevard Saint-Michel pour emprunter en face la rue de la Huchette puis à D la rue de la Harpe. On traverse le Boulevard St-Germain.
• On contourne les Thermes de Cluny par le boulevard Saint-Michel jusqu'à la rue du Sommerard.
* Thermes de Julien
Les thermes de Cluny, à Paris, ont une superficie de plusieurs hectares et comprennent une vaste palestre au sud dédiée aux jeux de balle et les bains, construction sur trois niveaux d'une superficie d'environ un hectare. Le complexe thermal s'étendait du boulevard Saint-Germain à la rue des Écoles et se trouve englobé dans le musée de Cluny.
En se plaçant devant la grille du boulevard Saint-Michel, une masse imposante de ruines dessine une vaste cour encadrée à gauche par un mur d'enceinte, à droite par une aile fermée et d'apparence claustrale, au fond par un mur percé de trois portes à plein cintre et d'une grande fenêtre de même forme ; sur les chaînes horizontales de briques, disposées en petit appareil carré, qui, soutenues par des blocs de pierre et agglomérées par la poussière des siècles, ont pris l'aspect de rochers gris, des touffes de lierre, plantées avec un art qui reproduit la nature, projettent leur feuillage vert. Les ruines sont celles du palais impérial des Thermes ; elles comptent seize siècles d'existence, et cependant, transformées en musée, elles renferment des monuments parisiens encore plus anciens qu'elles, Le palais des Thermes ou bains chauds, qui servait en même temps de citadelle, fut bâti, selon toute probabilité, au temps de l'empereur Constance Chlore, le césar des Gaules, le conquérant de l'Angleterre, qui habita Lutèce de 287 à 292 après Jésus-Christ. En l'an 360, le césar Julien dit l'Apostat fut dans ce même palais proclamé auguste, c'est-à-dire empereur, par l'armée et le peuple et il y attacha sa renommée, car on l'appelle communément les Thermes de Julien. On lui devait bien cet honneur en reconnaissance de l'attachement particulier qu'il avait pour « sa chère Lutèce ».
• On arrive au Musée de Cluny, l'Hôtel des Abbés de Cluny. Visite de la cour.
* Musée du Moyen Âge
L'hôtel est aujourd'hui le plus ancien témoin de l'architecture des hôtels particuliers construits à Paris entre cour et jardin. Il est de style gothique flamboyant selon un plan en U, d'un corps de logis prolongé par deux petites ailes en équerre délimitant une cour intérieure trapézoïdale.
Le musée accroît ses collections et la réorganisation de sa muséographie permet la création du musée national de la Renaissance à Écouen en 1977. L'opportunité sera également offerte aux autres musées et châteaux d'enrichir leurs séries par le moyen de dépôts. La vocation de l'établissement est confirmé en 1992 par sa nouvelle appellation de Musée national du Moyen Âge.
• On traverse le Square Paul Painlevé. Statue de Puvis de Chavane. Fontaine. Statue de Montaigne, En face : la Sorbonne.
• On tourne à gauche rue de Ecoles. Point de vue sur l'Hôtel des Abbés de Cluny. On traverse la rue St Jacques puis à D la rue des Ecoles. On est en face du Collège de France, Square Michel Foucault. (Première pierre en 1610). Statue de Claude Bernard.
* Collège de France
Le Collège de France est un grand établissement d'enseignement et de recherche. Il dispense des cours non diplômants de haut niveau dans des disciplines scientifiques, littéraires et artistiques. L'enseignement y est gratuit et ouvert à tous sans inscription, ce qui en fait un lieu à part dans la vie intellectuelle française. Être nommé professeur au Collège de France est considéré comme une des plus hautes distinctions dans l'enseignement supérieur français.
• On retourne sur nos pas en direction de la rue de la Sorbonne qui prend ensuite le nom de Rue Victor Cousin. On tourne donc à G et on arrive Place de la Sorbonne, devant la Chapelle.
*Sorbonne
La Sorbonne est propriété de la ville de Paris. Elle tire son nom du théologien et chapelain de Saint Louis, du XIIIe siècle, Robert de Sorbon, le fondateur du collège de Sorbonne, collège consacré à la théologie dont il définit ainsi le projet : « Vivre en bonne société, collégialement, moralement et studieusement ». Ce terme de Sorbonne est aussi utilisé par métonymie pour désigner l’ancienne Université de Paris, sous l'ancien régime et de 1896 à 1971, ainsi que les anciennes facultés des sciences et des lettres de Paris. La façade baroque est celle de la chapelle Sainte Ursule, achevée en 1642. Cette dernière, déconsacrée depuis la loi de séparation des Églises et de l'État, est désormais utilisée pour des réceptions ou des expositions.
La Sorbonne est le siège du rectorat de l'académie de Paris et de la chancellerie des universités de Paris. Elle abrite une partie des activités des universités Panthéon-Sorbonne (Paris I), Sorbonne Nouvelle (Paris III), Paris-Sorbonne (Paris IV) et Paris Descartes (Paris V), ainsi que celles de l'École pratique des hautes études et la bibliothèque de l'École des chartes. La Bibliothèque de la Sorbonne est une bibliothèque inter-universitaire (Paris I, III, IV, V et VII) rattachée pour sa gestion à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
* Chapelle de la Sorbonne
Elle constituait la chapelle privée du collège de Sorbonne puis des facultés universitaires de Paris au XIXe siècle. La chapelle actuelle a été reconstruite au XVIIe siècle par le cardinal de Richelieu dont elle fut également le mausolée. Les fondations de la chapelle d'origine, construite vers 1326, ont été retrouvées lors de la reconstruction de la Sorbonne en 1897. Elle était semble-t-il consacrée aux Onze mille vierges. Dès son édification, la nouvelle chapelle emporte l'enthousiasme de la société cultivée. Il s'agit du premier monument d'importance à coupole dans la capitale. On lit les deux façades comme les deux faces de Rome. Le porche à colonnes dans la cour rappelle en effet la Rome antique du Panthéon, tandis que la façade baroque sur la place nouvellement dégagée rappelle la Rome chrétienne de la réforme catholique. Elle reste aujourd'hui considérée comme l'un des chefs-d’œuvre de l'architecture classique française
• On poursuit jusqu'à la rue Soufflot (du nom de l'architecte du Panthéon) et on tourne à G. En face : le Panthéon.
* Panthéon
Au sommet de la montagne Sainte-Geneviève, s’élève le Panthéon, mausolée des célébrités nationales. Cet édifice n’est autre que l’église Sainte-Geneviève que décida de bâtir le roi Louis XV en 1744 pour honorer le vœu qu’il avait fait de construire une église pour Geneviève s’il survivait à une grave maladie.
Monument de style néo-classique, prévu à l'origine au XVIIIe siècle pour être une église qui abriterait la châsse de sainte Geneviève, ce monument a maintenant vocation à honorer de grands personnages ayant marqué l'histoire de France.
* Montagne Sainte Geneviève
C’est sur le versant nord de cette éminence, alors appelée mons Lucotitius, située sur la rive gauche de la Seine et ayant donné son nom à Lucotèce le faubourg de Lutèce, que furent édifiés les monuments romains qui ont subsisté jusqu’à nos jours : les thermes de Julien et les arènes de Lutèce1. C'est sur le sommet de cette colline que Clovis et son épouse Clotilde firent édifier le monastère des Saints-Apôtres où Geneviève avait coutume de monter prier en empruntant un chemin devenu « rue de la Montagne-Sainte-Geneviève ». Le monastère fut ensuite appelé « Abbaye Sainte-Geneviève » qui abrita par la suite, les tombeaux respectifs de Clovis, de Clotilde et de la sainte.
Le secteur urbain bâti sur la montagne Sainte-Geneviève fait partie du Quartier latin,
• On va contourner la place par le sud, à D la mairie du Vème arrondissement, à G, la Faculté de Droit, le Lycée Louis Le Grand, le Lycée Sainte Barbe avec la Bibliothèque Sainte Geneviève, et enfin l’Église Saint-Etienne du Mont.
• On prend à D la rue Clotaire jusqu'à la charmante place de l'Estrapade, puis la rue Lhomond qui nous amène rue d'Ulm. On tourne à D. A D tout de suite, rue Pierre et Marie Curie, on peut aller jeter un œil sur l'Ecole Nationale Supérieure de Chimie, plus loin l'Institut Océanographique et le Musée de la mer et des Eaux. Retour rue d'Ulm, à G l’Église Maronite Notre Dame du Liban, à D l'Institut Curie et l'hôpital Henri Curie, puis plus loin l'hôpital Claudius Regaud, en face une partie de l'Ecole Normale Sup, l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, à D la partie la plus moderne et la plus laide de l'Ecole Normale, enfin au bout de la rue la partie ancienne de cette école.
Au bout de la rue à G, on prend la rue Claude Bernard jusqu'à la rue Rataud à G. Plus loin à D, l'école Municipale de Physique et Chimie, à G le Laboratoire de l'Ecole Normale Sup. On prend à gauche la rue Lhomond (Chapelle) jusqu'à la rue des Irlandais à D puis dans la continuité la rue Clotilde qui longe le lycée Henri IV. On remarquera la Tour Carrée, seul vestige de l'Ancienne Abbaye Ste-Genevière de Paris qui a été démolie.
On visite l'église Saint-Etienne du Mont
* Eglise Saint-Etienne du Mont
L’église Saint-Étienne-du-Mont présente un mélange harmonieux et original d’art gothique et d’art Renaissance.
Son jubé, unique à Paris, édifié dans les années 1530 en est un témoignage éclatant, situé entre un chœur de style gothique flamboyant et une façade de style franco-italien. Par ailleurs, elle abrite les reliques de sainte Geneviève, patronne de Paris. Outre une église paroissiale, elle est ainsi un lieu de pèlerinage. Elle est enfin, par son implantation au cœur du quartier latin, un centre d’évangélisation vers la jeunesse scolaire et estudiantine.
• On contourne ensuite l’Église par le flanc nord (en face, le Secrétariat d’État à la Recherche, anciennement l'Ecole Polytechnique) On descend un peu la rue Descartes pour voir le jardin carré de l'Ecole Polytechnique. On remonte la rue pour aboutir à la rue Clovis. En face, superbe peinture murale. On descend à G la rue Clovis. Vestige de l'enceinte Philippe Auguste du XIIème siècle. On aborde le quartier de la Contrescarpe par la rue du Cardinal Lemoine (à D). En face, le collège des Escossois, plus loin sur la gauche l'Hôtel des grandes Ecoles dont le jardin mérite une visite mais pas à 20 personnes ! On arrive place de la Contrescarpe. On peut y prendre un café. A G on emprunte la rue Mouffetard. Je propose de prendre son temps, de musarder à droite et à gauche, de faire un peu de lèche-vitrine, pour se retrouver tout en bas de la rue devant l’Église Saint-Médard, dans le petit Square de l’Église après une brève visite à l’Église Saint-Médard.
* Quartier de la « Mouffe »
La rue de la Contrescarque doit son nom au voisinage de l'ancienne rue de la Contrescarpe-Saint-Marcel, actuellement rue Blainville, et fait référence à la contrescarpe - talus extérieur du fossé devant l'enceinte de Philippe Auguste.
La rue Mouffetard est probablement une des plus anciennes voies quittant le Paris de Lutèce vers le sud. Elles est déjà attestée dès le 1er siècle sous l'époque romaine. La partie existant aujourd'hui n'est qu'une portion de l'ancienne rue qui allait plus loin vers le Sud . Mais Haussmann est passé par là et il a crée l' Avenue des Gobelins supprimant les quartiers au delà de l'actuelle partie basse de la rue.
* Eglise Saint-Médard
La construction de l'église Saint-Médard s'est étalée du XVe au XVIIIe siècles. Elle fut interrompue par les guerres de religion et particulièrement le Tumulte de Saint-Médard, une dispute entre protestants et catholiques qui entraîna le saccage de l'église par les protestants en 1561.
En 1655, la paroisse est placée sous la juridiction directe de l’archevêque de Paris alors qu'elle dépendait jusque-là du seul abbé de Sainte-Geneviève.
Au XVIIIe siècle, l'église Saint-Médard est embellie, notamment en 1784 par Louis-François Petit-Radel qui fut l’architecte de la chapelle de la Vierge et du presbytère qui jouxte l'église.
Durant la Révolution, l'église est fermée et le culte aboli en novembre 1793. Elle est rouverte par un décret de la Convention de mai 1795. La paroisse partage son église avec les théophilanthropes et avec le culte décadaire elle s'appellera Temple du Travail pendant dix mois.
Au XIXe siècle de nombreux aménagements intérieurs et extérieurs sont entrepris dans l'église ; le grand cimetière sud est transformé en square.
En 1901, la Chapelle des Catéchismes est édifiée sur l'emplacement de l'ancien cimetière. Des transformations intérieures ont lieu en 1960 ; l'église est ravalée en 1974.
En 2011, un réaménagement liturgique a rétabli un autel en pierre dans le choeur de l'église. Celui-ci a été dédicacé par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, le 11 septembre 2011.
• On contourne l’Église par la rue Candolle pour aboutir à la rue Daubenton, on traverse le carrefour pour rejoindre l'autre côté de la rue Daubenton, ce qui nous amène à la rue Geoffroy Saint-Hilaire. A G la grande Mosquée de Paris. En face, le Jardin des Plantes,
* Grande Mosquée de Paris
La Grande Mosquée de Paris est une mosquée française de style mauresque avec un minaret de 33 mètres. La mosquée, inaugurée le 15 juillet 1926, a été fondée par Si Kaddour Benghabrit. Elle a une place symbolique importante pour la visibilité de l'islam et des musulmans en France. Elle est la plus vieille mosquée en France métropolitaine.
La décision de construire la Mosquée de Paris, première mosquée construite en France métropolitaine, se concrétise après la Première Guerre mondiale pour rendre hommage aux 70 000 morts de confession musulmane qui avaient combattu pour la France. Cette décision remonte plus précisément au lendemain de la bataille de Verdun lorsque la Société des Habous, association créée spécialement à cet effet 1917, est chargée de construire la mosquée.
Financée par la France (loi du 19 août 1920 qui accorde un crédit de 500 000 francs pour la construction d'un Institut Musulman regroupant une mosquée, une bibliothèque et une salle d'étude et de conférences11), elle est bâtie sur l'emplacement de l'ancien hôpital de la Pitié. La première pierre est posée en 1922. Les travaux sont réalisés par Robert Fournez, Maurice Mantout et Charles Heubès d'après les plans de Maurice Tranchant de Lunel.
Elle est inaugurée le 16 juillet 1926, en présence du président Gaston Doumergue et du sultan du Maroc Moulay Youssef.
Inspirée de la mosquée el-Qaraouiyyîn de Fès (une des plus importantes mosquées du Maroc et une des plus anciennes au monde), toute sa partie décorative et en particulier les zelliges est confiée à des artisans spécialisés d'Afrique du Nord avec des matériaux traditionnels. Le minaret de 33 m est inspiré de celui de la mosquée Zitouna en Tunisie.
On pique-nique dans le Jardin des Plantes puis on se dirige vers les Arènes de Lutèce par la rue Lacépède et la rue de Navarre.
• On est à une des entrées du Muséum d'Histoire Naturelle et du Jardin des Plantes. On fait un tour dans le Jardin des Plantes. Suivant le temps qu'il fait, on s'attarde, ou non. On prend la sortie de la rue Linné, au nord ouest du jardin. On traverse la rue Linné (statue à D de Cuvier) pour rejoindre la rue Lacépède.
• Après le déjeuner, on retourne place de la Contrescarpe, rue du Cardinal Lemoine et à D la rue Rollin qui nous amène tout droit aux Arènes de Lutèce.
* Arènes de Lutèce
Les arènes de Lutèce, construites au Ier siècle, sont un amphithéâtre gallo-romain situé à Paris. Il s'agit d'un complexe hybride, de type « amphithéâtre à scène » ou encore « amphithéâtre-théâtre », comportant à la fois une scène pour les représentations théâtrales et une arène pour les combats de gladiateurs et autres jeux de l'amphithéâtre.
Entre 1860 et 1869, l'ouverture de la rue Monge permit à Théodore Vacquer de mettre au jour et relever les premières traces de la partie nord des arènes. Elles furent réellement dégagées dans leur partie sud par les travaux de terrassement de la Compagnie générale des omnibus entre 1883 et 1885, qui souhaitait construire un dépôt de tramways. La Société des amis des Arènes est créée pour défendre le site et sa valeur historique, ses soutiens comptent Victor Duruy et Victor Hugo. Le 27 juillet 1883, Hugo adressa une lettre au président du conseil municipal de Paris pour défendre les arènes de Lutèce, menacées de destruction :
Quelques jours après, le conseil se porta acquéreur des vestiges de l'amphithéâtre qui fut classé monument historique. Après le démantèlement du tramway et de son dépôt en 1916 et le percement de la ligne 10 du métro, l'anthropologue Louis Capitan continua les fouilles à la fin de la Première Guerre mondiale sur une autre partie des arènes et compléta leur restauration en 1918.
• On sort des Arènes par le Square Capitan, on prend la rue des Arènes à G puis la rue Linné à gauche. Très belles façades. On arrive place Jussieu. A D l'Université Paris VI Pierre et Marie Curie puis le musée de la Minéralogie On évite la rue des Fossés Saint-Bernard pour prendre la rue Cardinal Lemoine jusqu'à la rue des Chantiers à D, on remarquera à D Le Cercle des Maçon Tailleurs de Pierre. On aboutit sur l'Institut du Monde Arabe (L'Institut du monde arabe est un institut culturel consacré au monde arabe, Il y a fréquemment des expositions se rapportant au monde arabe) dont on admirera l'architecture (Jean Nouvel). On descend sur les quais en face de l'IMA et on longe la Seine jusqu'à la statue de Sainte Geneviève. Si le temps le permet, on fait un tour sur le quai Saint-Bernard à G, c'est le jardin Tino Rossi et le Musée de Sculpture en plein air, et on revient sur nos pas. En face, le fameux restaurant « La Tour d'Argent ». Donnant sur la Seine, l'Inspection Générale de la Navigation.
• On traverse le boulevard pour emprunter la rue de Poissy. Et là on va zigzaguer d'une rue à l'autre entre les quais et le Bld Saint-Germain puis la rue Monge, d'abord la rue de Poissy avec le Collège des Bernardins (visite de la grande salle).
* Collège des Bernardins
Le collège des Bernardins ou Collège Saint-Bernard, est un ancien collège cistercien de l'historique Université de Paris. Fondé par Etienne de Lexington, abbé de Clairvaux, et construit à partir de 1248 avec les encouragements du pape Innocent IV, il servit jusqu'à la révolution française de résidence pour les moines cisterciens étudiant à l'Université de Paris.
Après une rénovation complète achevée en septembre 2008, il est aujourd’hui un lieu de rencontres, de dialogues, de formation et de culture proposant une programmation riche de conférences et colloques, d’expositions, de concerts, d’activités pour le jeune public ainsi qu’un centre de formation théologique et biblique. Depuis 2009, il abrite l'Académie Catholique de France.
• On tourne à D rue Saint Victor, puis à D encore rue de Pontoise (piscine), ce qui nous amène à admirer donnant sur la Seine, la Pharmacie Centrale superbement rénovée (c'est le Musée de l'Assistance Publique), l'Hôtel du ci-devant de Nesmond et la Maison de la Demeure Historique. ensuite à G la rue des Bernardins avec son passage couvert on longe le Musée de la parole et du Geste et on arrive à l’Église Saint-Nicolas du Chardonnay (messe traditionnelle en Latin), une visite s'impose. A G la Maison de la Mutualité. On est Place Maubert. On prend la rue Monge et on poursuit en direction de Saint-Michel, à D la rue de Bièvre, avec son petit Square Danielle Mitterrand. Au bout de cette rue, le Square Restif de la Bretonne, on prend la rue des Grands Degrés, qui nous amène rue de la Bûcherie, on passe devant l'Hôtel Cobert à G, on traverse le square René Viviani, on rejoint la rue Galande puis la rue Saint-Severin après avoir traversé la rue Saint-Jacques, on reprend à D la rue de la Harpe puis à G la rue de la Huchette pour tomber sur la station de RER Saint-Michel. S'il n'est pas très tard, on peut prendre un pot avant de rentrer. Ceux qui le souhaitent peuvent aller visiter Notre-Dame. Libre à chacun.
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